Le bonheur est dans le show

Mohammad travaille sur un chantier à Beyrouth. Un matin, il se porte volontaire pour conduire la grue la plus haute et la plus dangereuse du Liban… Loin du regard des autres, il pourra y vivre sa passion secrète.

Ali, jeune émigré marocain, vit avec son père très religieux à Paris. Boulanger le jour, il pousse la nuit les portes d'un cabaret oriental où il enchante les client·es derrière un microphone sous les traits d'une femme ravissante, Alia.

Dans l’euphorie de la fin d’un de leurs spectacles, sept drag-queens cherchent à prolonger leur ivresse et leur plaisir sur le dance-floor. Attirances, rejets, provocations... La caméra du réalisateur filme avec tendresse les regards de « bitches » des sept ami·x·es.

Le photographe Marc Martin met en scène une histoire d'amour en apparence normale, voire banale, entre deux jeunes personnes.. Ce film musical délivre un message d’altérité et prône le vivre ensemble. Pour qu’un jour, toutes les histoires d’amour soient « normales », voire « banales ». Ce court métrage a été tourné à LaVallée / Molenbeek et combat l’homophobie et le racisme, inextricablement liés. "Mon CRS" convoque Othmane, artiste non binaire d’origine maghrébine, dans une relation avec un gardien de la paix apparemment « bien sous tous rapports ». C’est Mathis Chevalier, jeune comédien et champion de boxe dans la vie, qui endosse le rôle du policier. Ensemble, ils jouent avec les codes liés à une discipline sportive et un corps de métier souvent taxés de machisme. En trame de fond, une chanson issue du répertoire fantaisiste d’Annie Cordy : "Mon CRS".

Alors qu'elle vient de voler l'urne contenant les cendres de son amant décédé, Paloma, une drag-queen haute en couleur, rencontre Mike, un routier silencieux et mélancolique.