Nous avions notamment pu découvrir la réalisatrice dans « Dirty Diaries » ou ses clips pour The Knife. Son premier long métrage, frontalement porno, se joue pourtant des codes et des tons qu'utilise trop souvent ce cinema. A la fois sexy et nostalgique, tourné dans des lieux alternatifs berlinois (désertés, squattés ou sex clubs) propices à des scènes très hard, il dessine aussi une histoire d'amour, d'intimité et de communauté, donnant à voir l'habituellement « hors caméra ». Un porno queer, lesbien & et romantique ? (rencontre avec la réalisatrice le 13/11 à 15h)