Ramin se retrouve à Veracruz au Mexique, par accident, alors qu’il cherchait à se rendre en Grèce pour fuir la répression dont les homosexuels sont victimes dans son pays d’origine, l’Iran.
En transit dans cette ville portuaire, il semble être dans un état intermédiaire entre mélancolie et espoir, entre la nécessité de s'assimiler dans un espace et l'impatience de le quitter.
De la vie antérieure de Ramin, le film ne dévoile pas grand chose sinon quelques indices qui en disent pourtant beaucoup.
Comme son titre l'indique si joliment, Luciernagas ( Les lucioles) est un film fragile et précieux, un film qui danse et rallume la nuit, un film qui persiste à maintenir l'espoir.